Couverture rigide. Zustand: Bon. Alfred Asseline (1823-1891), poète, écrivain, journaliste, cousin-germain d'Adèle Foucher. L.A.S. « Alfred dit le petit matelot », sd [dimanche soir], 1p in-8. A l'écrivain Emmanuel Gonzalès (1815-1887). Petite lettre amicale dans laquelle il mentionne le succès de sa fille, Alice Rabany, qui joue alors dans Faust à Rouen. [95-2].
Couverture rigide. Zustand: Bon. Alfred Asseline (1823-1891), poète, écrivain, journaliste, cousin-germain d'Adèle Foucher. L.A.S. « R », sd [lundi], 2p in-12. A l'écrivain Emmanuel Gonzalès (1815-1887). Belle lettre amicale à son ami, nommé « garde-côte », alors à Dieppe et rentrant à Paris le lendemain, donnant le menu complet du dîner du lendemain auquel Gonzalès est invité. « Nous tâcherons de vous faire oublier votre famille sous le couvert de l'amitié. Tous les Rabany embrassent tous les Gonzalès ». La signature semble être un simple « R ». La femme d'Asseline est née Rabany, nom que reprendra leur fille, Alice Rabany. [95-2].
Couverture rigide. Zustand: Bon. Alfred Asseline (1823-1891), poète, écrivain, journaliste, cousin-germain d'Adèle Foucher. L.A.S., 8 novembre, 1p in-4. A l'écrivain Emmanuel Gonzalès (1815-1887). Amusante lettre : « Ô mon cher voisin ! La soute étant ce que j'adore et emmanuel étant ce que j'aime, je viendrai certainement mardi. On ne résiste pas à une aussi aimable invitation. Un drame vient de se passer. Je me suis séparer de mon chat. Il y a eu les adieux de Fontainebleau. Le drapeau était souillé, je l'ai envoyé au blanchissage. C'est inouï ce que le ventre d'un petit chat peut contenir de pipi. A Mardi. Alfred deux fois orphelin ». [95-2].
Couverture rigide. Zustand: Bon. Alfred Asseline (1823-1891), poète, écrivain, journaliste, cousin-germain d'Adèle Foucher. L.A.S. « vos vieux Breda Street Alfred et Rabany, père et mère », sd [un dimanche de Mai, probablement 1885], 1p in-12. A l'écrivain Emmanuel Gonzalès (1815-1887), ou plus précisément « à M Gonzalès commandeur de l'ordre de la maison des Bains » comme l'indique Asseline. A propos d'un diner à venir avec leur voisin le compositeur Alfred Quidant (1815-1893) [qui habitait aussi rue Breda au n°7]. La mention du deuil récent de Quidant, qui a perdu son épouse en 1885, laisse penser qu'il s'agit de cette année. Asseline mentionne d'ailleur les Confessions d'Arsène Houssaye dont le premier volume parait en 1885. [95-2].
Couverture rigide. Zustand: Bon. Alfred Asseline (1823-1891), poète, écrivain, journaliste, cousin-germain d'Adèle Foucher. L.A.S. « Alfred Samaris », Royat-les-Bains, 23 juillet, 3p in-8. Entête du « Castel du Parc ». A l'écrivain Emmanuel Gonzalès (1815-1887). Belle lettre amicale : « cette belle image vous représente le château où vos amis Deslandes et Samaris reposent en ce moment, deux heures de l'après-midi, par une chaleur torride, après la fine partie de dominos, qui termine le déjeuner et précède la sieste. Cette heure du domino est celle où nous causons de nos bons amis, et votre nom revient souvent entre le double six et le quatre-trois? ». Il mentionne Edouard Magnier, « le triste sire qui ne paie pas » et son retour à Paris. [95-2].
Couverture rigide. Zustand: Bon. Alfred Asseline (1823-1891), poète, écrivain, journaliste, cousin-germain d'Adèle Foucher. L.A.S., Nice, sd [vendredi saint, peut-être 3 avril 1885], 4p in-12. A l'écrivain Emmanuel Gonzalès (1815-1887). Elle parle du succès de sa fille, Alice Rabany, à Saint Etienne. Elle « a recueilli parmi tous les applaudissements et les marques d'intérêt des naturels du pays, une quantité de rubans, des cartons de cravates, produit de l'industrie des bons stéphanois qui ont jeté à ses pieds toutes leurs richesses ». Alice a proposé à son papa de les partager avec ses amis. Il précise ensuite : « J'ai eu le plaisir de me rencontrer à un diner de Mr le préfet de Nice, avec Victorien sardou qui nous a éblouis par les feux d'artifice qu'il a tirés de 7h à minuit. Le pauvre préfet et la préfète en étaient un peu émus et se demandaient si Jules Ferry était bien mort ». En effet, Ferry a été président du conseil jusqu'au 30 mars 1885. Le préfet était alors Léon-Paul Lagrange de Langue (1830-1909). Le reste de la lettre donne notamment des nouvelles de sa santé et mentionne « Mademoiselle Jeanne Gonzalès ». [95-2].
Couverture rigide. Zustand: Bon. Alfred Asseline (1823-1891), poète, écrivain, journaliste, cousin-germain d'Adèle Foucher. L.A.S., sd [dimanche], 1p in-4. A l'écrivain Emmanuel Gonzalès (1815-1887). Longue lettre de nouvelles, les succès de son huissier, le journal La Journée : « j'ai donné l'ordre de ne pas mettre au cabinet cette feuille humiliante parce qu'elle salit le derrière », sa servante qu'il a dû changer, sa fille qui l'appelle à Dijon. [95-2].
Couverture rigide. Zustand: Bon. Alfred Asseline (1823-1891), poète, écrivain, journaliste, cousin-germain d'Adèle Foucher. L.A.S., sd [après 1886], 1p in-4. A l'écrivain Emmanuel Gonzalès (1815-1887). « Très excellent voisin (Voisin célèbre restaurateur à côté de l'Assomption). Certes je ne me déroberai pas à la bonne fortune de l'aimable diner de gibier que vous voulez bien m'annoncer pour mardi prochain, en compagnie du non moins célèbre et aimable ami Raimon. Donc à mardi et d'ici-là, pénétrez vous de ce livre impie "Les Juifs et l'opinion" que vous avez désiré lire et que je vous fais tenir ci-joint. [?]. Alfred qui a connu Cochinat ». Il s'agit de Victor Cochinat (1819-1886). Le livre dont il est question est probablement le livre de Drumont, La France juive devant l'opinion. [95-2].