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Verlag: Athena International, London, 1976
Anbieter: Antiquariat Weber, Neuendorf b. Elmshorn, SH, Deutschland
Verbandsmitglied: GIAQ
Buch
21 x 14,5 cm ; kart. ; 5 Taf. ; 5 lose kartonierte Bildtafeln aus "Modes et Manières d'aujord'hui, 1912". Reprint aus der Reihe "Connoisseur Collection". Folgende Motive sind vorhanden: La Toilette ; L'Entrance ; Les Papillons ; La Balançoire ; Travesti. Format jeweils 21 x 14,5 cm. Guter Zustand. pwB28.
Verlag: Générique
Anbieter: JLG_livres anciens et modernes, Saint Maur des Fossés, Frankreich
Verbandsmitglied: ILAB
Buch
Zustand: Très bon. Nos envois se font avec suivi, pour tout problème n'hésitez pas à nous contacter pour trouver une solution.
Anbieter: Antiquariaat A. Kok & Zn. B.V., Amsterdam, Niederlande
Paris, Flammarion, 1941. 286 pp. Soft cover.Fine col. illustrations. Nr. 931 of 3225 copies.
Verlag: Éditions Émile Chamontin., Paris., 1941
Anbieter: Sims Reed Ltd ABA ILAB, London, Vereinigtes Königreich
8vo. pp. 285, (3). Illustrations by Georges Lepape, including 10 hors-text pochoir plates, and numerous bandeaux, lettrines and culs-de-lampes printed in red. Original publisher's printed wrappers with printed titles in red and black and small vignette. From the edition limited to 3,325 numbered copies on vélin, with this one of 100 éxemplaires de présent numbered in Roman numerals.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1921
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à dgauche dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH TRANSLATI.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1914
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].
Verlag: Paris, 1921
Anbieter: Antipodean Books, Maps & Prints, ABAA, Garrison, NY, USA
Signiert
Print. Zustand: Very good condition. A good selection of images from the "Gazette du Bon Ton" are on our website. The "Gazette du Bon Ton" was a leading fashion magazine published from 1912 to 1925, the highlight of which were 10 colored plates in each issue. The magazine signed exclusive contracts with seven of Paris's top couture houses (Cheruit, Doeuillet, Doucet, Paquin, Poiret, Redfern, and Worth) so that the designers' fashions were shown only in the pages of the Gazette. An annual subscription was 100 francs, the equivalent of over $400 today. Lithograph print with pouchoir color, an intensive process that uses stencils to apply the vibrant color. 7 1/4 x 9 1/2".
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1914
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Original color pr.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1914
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1914
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1920
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille. - Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH TRANSLATION F.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1920
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Mars 1920, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1914
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Mars 1914, 19x24,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1913
Kunst / Grafik / Poster
Couverture souple. Zustand: Bon. Gravure originale coloriées au pochoir (190 x245 mm) tirée sur papier vergé, signée par Georges Lepape dans la planche. Gravure encadrée sous verre (dimensions du montage : 285 x 230 mm). Estampe d'illustration de La gazette du bon ton, une des plus luxueuses et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en pleine période art déco.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1915
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris 1915, 37,7x24,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Robes de Jenny, Beer, Worth, Doeuillet, Chéruit, Premet, Martial et Armand. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avai.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1915
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris 1915, 37,7x24,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Robes de Beer, Lanvin, Paquin, Callot, Doucet, Worth, Premet. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quel.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1913
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Juin1913, 36,5x24cm, une feuille. - Estampe originale double en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. L'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Double original color print, printed on vergé pap.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1914
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1914, 24x36,5cm, une feuille. - Estampe double originale, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Une des rares planches doubles en format portrait. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années au.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1913
Kunst / Grafik / Poster
Couverture souple. Zustand: Bon. Gravure originale coloriées au pochoir (190 x245 mm) tirée sur papier vergé, signée par Georges Lepape dans la planche. Gravure encadrée sous verre et marie-louise (dimensions du montage : 345 x 280 mm). Estampe d'illustration de La gazette du bon ton, une des plus luxueuses et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en pleine période art déco.
Verlag: Modes & manières d'aujourd'hui, 1919
Revue. Beau tirage de la couverture du quatrième album, par Georges Lepape, de cette mythique revue, d'une incroyablement belle qualité, et qui proposait tout ce que l'Art Déco possedait de grands noms et de finesse, au moment de l'apogée de leur art, finement encadré. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande. Lepape Georges.
Verlag: Lucien Vogel éditeur, 1915
Kunst / Grafik / Poster Erstausgabe
Pas de couverture. - Lucien Vogel éditeur, Paris Eté 1915, 36,5x24cm, une feuille. - Estampe double originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Elle représente des modèles de Jenny, Beer, Worth, Doeuillet, Chéruit, Premet et Martial & Armand. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (s ur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [.] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas. Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit j.
Verlag: Printemps, 1922
Anbieter: Librairie du Cardinal, GRADIGNAN, Frankreich
Erstausgabe
souple. 1 prospectus dépliant format 29 x 121 cm, 1922 Rare exemplaire de ce beau prospectus édité par les grands magasins du Printemps : "Nous avons l'honneur de vous présenter ici quelques-unes de nos créations, dessinées par Georges Lepape. Nous espérons que ces quelques modèles vous donneront le désir de nous rendre visite, pour connaître l'ensemble des collections exposées dans nos magasins, où vous trouverez tout ce que peut désirer une femme élégante et pratique". Etat très satisfaisant (qq. petites mouill. et qq. rares petites fentes en pliure) Langue: Français.
Verlag: Libraire J. Meynial., Paris., 1921
Anbieter: Sims Reed Ltd ABA ILAB, London, Vereinigtes Königreich
Magazin / Zeitschrift
Large 8vo. (288 x 192 mm). [34 leaves]. Half-title, title, further title leaf and 16 leaves with 'Douze Poèmes' by Hanry-Jacques each printed recto only, title leaf and 12 pochoir fashion plates by Georges Lepape, leaf with justification and leaf with achevé d'imprimer. Loose in the original card portfolio with decorative printed paper flaps and title and vignette to front cover; wear to paper portfolio flaps, front tie torn. Georges Lepape's beautiful fashion plates. From the edition limited to 300 numbered copies. Modes et Manières d'Aujourd'Hui was a leading fashion periodical of the Art Deco period and the pochoir plates illustrate the height of French fashion at the time. Each volume contained fashion plates by a different artist, here by Georges Lepape and was supplemented by text and poems by a featured writer. Published between 1912 - 1923, there was a total of seven volumes and each one was limited to only 300 copies. Because of the popularity of the individual pochoir prints complete volumes in the original folders are rare. [Colas 2099].
Verlag: Corrard Pierre, 1912
Plaque de graveur. EXCEPTIONNEL & SANS ÉQUIVALENT ! EXCEPTIONAL AND UNPRECEDENTED ! "Modes et manières d'aujourd'hui" est la publication du meilleur de la mode du début du XXe siècle, par les artistes l'ayant faite, au plus haut de leur art. Le projet est porté par Pierre Corrard, écrivain et éditeur de grand talent. Afin d'accompagner la révolution artistique et vestimentaire des années folles, il publie, en 1912, une première chemise, avec des illustrations de Georges Lepape. Devant l'accueil fait à cette première publication, il décide, chaque année, de proposer une chemise identique, avec des auteurs et des artistes différents. Nous proposons ici certaines des plaques de zinc ayant servi à imprimer les compositions de Georges Lepape pour la toute première chemise de la série. Ces 5 plaques ont permis de reproduire 9 des 12 gravures réalisées par Georges Lepape (4 présentent deux illustrations, et 1 en présente une seule), à savoir : une plaque pour les planches I (La Toilette) et III (Les papillons), une pour les planches II (L'Entr'acte) et V (Les Coussins), une pour les planches VI (Le Verger) et XII (Travesti), une pour les planches VII (Le Festin) et VIII (Les Hermines), et enfin une pour la planche IV (La Balançoire). La provenance de cet ensemble est exceptionnelle : il provient directement de la famille Corrard. Nous joignons à ces planches, qui plus est, un bon de commande à l'entête de "Modes et manières d'aujourd'hui", vierge, ainsi qu'une carte à l'entête des "Collections Pierre Corrard", vierge également. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande. Modes et manières d'aujourd'hui Lepape Georges.
Verlag: Dover Publications Inc., 1980
ISBN 10: 0486238059ISBN 13: 9780486238050
Anbieter: HALCYON BOOKS, LONDON, Vereinigtes Königreich
Buch
Paperback. Zustand: Very Good. ALL ITEMS ARE DISPATCHED FROM THE UK WITHIN 48 HOURS ( BOOKS ORDERED OVER THE WEEKEND DISPATCHED ON MONDAY) ALL OVERSEAS ORDERS SENT BY TRACKABLE AIR MAIL. IF YOU ARE LOCATED OUTSIDE THE UK PLEASE ASK US FOR A POSTAGE QUOTE FOR MULTI VOLUME SETS BEFORE ORDERING.
Paris, Flammarion 1953. In-12 broché, couverture rempliée de 213 pages. Texte encadré. Illustrations de G. Lepape. Collection : Les classiquesde l'amour. Tirage limité numéroté sur vélin des papèteries de Navarre. Très bon état Livres.
couverture souple. - Emile Chamontin, Paris 1941, 13,5x20cm, broché. - Nouvelle édition de la traduction française établie par Laurent Tailhade, un des exemplaires numérotés sur vélin. Ouvrage orné d'illustrations originales au pochoir de Georges Lepape. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].
couverture souple. - Emile Chamontin, Paris 1941, 13,5x20cm, broché. - Nouvelle édition de la traduction française établie par Laurent Tailhade, un des exemplaires numérotés sur vélin. Ouvrage orné d'illustrations originales au pochoir de Georges Lepape. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].
Couverture rigide. - Emile Chamontin, Paris 1942, 16x24,5cm, relié sous étui. - Edition illustrée de lettrines, de vignettes en couleurs ainsi que de 8 planches hors-texte par Georges Lepape, un des 36 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête. Reliure en demi chagrin turquoise à coins, dos à quatre nerfs très légèrement décoloré, plats de papier à effet moiré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couverture et dos conservés, tête dorée. Agréable exemplaire. Notre exemplaire, ainsi qu'il l'est stipulé à la justification du tirage, est bien complet de l'eau-forte originale de Georges Lepape qu'il a signée. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].
Couverture souple. Zustand: Bon. In-4 en feuilles sous couverture rempliée, chemise portefeuille et étui. Tirage limité à 535 exemplaires, tous sur vélin de Rives numérotés. 8 planches de Lepape tirées sur fond teinté. Petit accroc à l'étui.