Lorsque nous nous trouvons confrontés à la mort, la "nôtre" ou celle de l'"autre", nous pouvons feindre l'indifférence, opter pour le mépris d'une "souffrance injuste", nous résoudre à la haine d'une puissance hostile, ou bien, encore, la considérer comme un simple "fantôme", une "image", une "névrose", etc. Mais, si nous nous efforçons d'en assumer la nécessité, si nous en "comprenons" la nécessité, elle apparaît comme une "clef" de la vie. Les enseignements traditionnels insistent : la bonne mort est la conséquence d'une fin de vie juste... Et une vie "justifiée", au sens théologique, prend en compte la mort ; moins en tant que processus de rupture, biologique et affective, que comme un passage critique, un changement d'état pour l'être contingent. Fort d'une telle approche, ce B.A.-BA de la mort (volume 1) rappelle le fait mythique qui la généra, avec la corruption de l'âme, la souffrance, la maladie, le vieillissement. Il soulève le problème de l'attitude hospitalière moderne, qui abandonne l'agonisant - surmédicalisé mais sans viatique - aux affres d'un vertigineux basculement dans l'"inconnu". Au contraire, dans une société traditionnelle, la mort est familière... La simple et honnête foi, l'attachement aux rites communautaires, les vertus de la prière, repoussent l'esprit de négation et le flot d'angoisses, souvent inavouées. Enfin, l'auteur envisage la diversité des coutumes funéraires : inhumation, crémation, embaumement, etc., jusqu'aux pratiques déroutantes des doubles funérailles ou de la nécro-anthropophagie.
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Lorsque nous nous trouvons confrontés à la mort, la "nôtre" ou celle de l'"autre", nous pouvons feindre l'indifférence, opter pour le mépris d'une "souffrance injuste", nous résoudre à la haine d'une puissance hostile, ou bien, encore, la considérer comme un simple "fantôme", une "image", une "névrose", etc. Mais, si nous nous efforçons d'en assumer la nécessité, si nous en "comprenons" la nécessité, elle apparaît comme une "clef" de la vie.
Les enseignements traditionnels insistent : la bonne mort est la conséquence d'une fin de vie
juste... Et une vie "justifiée", au sens théologique, prend en compte la mort ; moins en tant que processus de rupture, biologique et affective, que comme un passage critique, un changement d'état pour l'être contingent.
Fort d'une telle approche, ce B.A.-BA de la mort (volume 1) rappelle le fait mythique qui la généra, avec la corruption de l'âme, la souffrance, la maladie, le vieillissement. Il soulève le problème de l'attitude hospitalière moderne, qui abandonne l'agonisant - surmédicalisé mais sans viatique - aux affres d'un vertigineux basculement dans l'"inconnu". Au contraire, dans une société traditionnelle, la mort est familière...
La simple et honnête foi, l'attachement aux rites communautaires, les vertus de la prière, repoussent l'esprit de négation et le flot d'angoisses, souvent inavouées.
Enfin, l'auteur envisage la diversité des coutumes funéraires : inhumation, crémation, embaumement, etc., jusqu'aux pratiques déroutantes des doubles funérailles ou de la nécro-anthropophagie.
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Softcover. Zustand: Bon. Légères traces d'usure sur la couverture. Edition 2002. Tome 1. Ammareal reverse jusqu'à 15% du prix net de cet article à des organisations caritatives. ENGLISH DESCRIPTION Book Condition: Used, Good. Slight signs of wear on the cover. Edition 2002. Volume 1. Ammareal gives back up to 15% of this item's net price to charity organizations. Artikel-Nr. E-707-682
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