De la musique avant toute chose: 0000 - Softcover

Tabachnik, Michel

 
9782283023419: De la musique avant toute chose: 0000

Inhaltsangabe

Dans De la musique avant toute chose, Tabachnik propose au lecteur son « concert idéal ». Il se compose d'œuvres de Richard Strauss, Béla Bartok, Igor Stravinsky, Xenakis et Boulez. Des deux derniers, il évoque leur personnalité, le sens de leur recherche musicale, leur amitié pour lui. Il raconte aussi comment il s'est retrouvé proche d'un monstre sacré de la direction d'orchestre, Herbert Von Karajan dont il souligne l'exigence, l'engagement exemplaire dans son art.Mais ce livre est plus qu'un album de souvenirs, remarquablement vivants. Tabachnik est un musicien qui réfléchit sur son art. Il cherche à répondre à « l'appel de l'être », inspiré par le peintre Kandinsky. Sur cette quête, il s'interroge encore en essayant de revivre, après douze ans d'interdiction et de silence forcé.La « lettre à Michel » que lui adresse Régis Debray, en guise de préface, nous place adroitement dans la position d'un « ignare de bonne volonté ». Elle ouvre un dialogue que Tabachnik ne demande qu'à partager. Elle contribue à faire de cet ouvrage une introduction à la musique contemporaine, encore si peu aimée, si peu comprise.

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Über die Autorin bzw. den Autor

Compositeur et chef d'orchestre, Michel Tabachnik fut le protégé d'Igor Markevitch, d'Herbert von Karajan et surtout de Pierre Boulez, dont il devint l'assistant. C'est à lui que Boulez confiera la première direction de l'Ensemble Intercontemporain à Paris. Il a conduit les orchestres les plus prestigieux, et fut jusqu'en 2015 chef titulaire du Brussels Philharmonic. On lui doit de nombreuses compositions, dont Benjamin, dernière nuit, opéra écrit sur un livret de Régis Debray (2016).

Von der hinteren Coverseite

Dans De la musique avant toute chose, Tabachnik propose au lecteur son « concert idéal ». Il se compose d'œuvres de Richard Strauss, Béla Bartok, Igor Stravinsky, Xenakis et Boulez. Des deux derniers, il évoque leur personnalité, le sens de leur recherche musicale, leur amitié pour lui. Il raconte aussi comment il s'est retrouvé proche d'un monstre sacré de la direction d'orchestre, Herbert Von Karajan dont il souligne l'exigence, l'engagement exemplaire dans son art.Mais ce livre est plus qu'un album de souvenirs, remarquablement vivants. Tabachnik est un musicien qui réfléchit sur son art. Il cherche à répondre à « l'appel de l'être », inspiré par le peintre Kandinsky. Sur cette quête, il s'interroge encore en essayant de revivre, après douze ans d'interdiction et de silence forcé.La « lettre à Michel » que lui adresse Régis Debray, en guise de préface, nous place adroitement dans la position d'un « ignare de bonne volonté ». Elle ouvre un dialogue que Tabachnik ne demande qu'à partager. Elle contribue à faire de cet ouvrage une introduction à la musique contemporaine, encore si peu aimée, si peu comprise.

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