Reseña del editor:
Ce livre historique peut contenir de nombreuses coquilles et du texte manquant. Les acheteurs peuvent généralement télécharger une copie gratuite scannée du livre original (sans les coquilles) auprès de l'éditeur. Non référencé. Non illustré. 1848 edition. Extrait: ... que Milan, Parme ou Modène, et peut, comme ces villes, abdiquer sa souveraineté ou la conserver. Ainsi, deux voies lui sont offertes: ou vivre indépendant, c'est-à-dire s'administrer lui-même et demeurer dans l'isolement; ou renoncer à une complète indépendance et se donner au grand pays qui le protége, à la Sardaigne. Ville libre, Menton n'a à payer d'impôt qu'à luimême.--D'une part, les droits d'entrée qu'il exige étant généralement très-faibles, on peut presque le considérer comme port franc; d'autre part, les produits de son sol sont frappés de droits très-lourds par la Sardaigne.--Il n'a à rendre compte de son administration qu'à lui-même, mais il en supporte seul les charges.--Il n'est pas soumis à l'impôt du sang. Ville sarde, Menton paierait, il est vrai, un impôt à la Sardaigne; mais cet impôt serait faible, et cette Puissance le rendrait largement aux contribuables sous forme d'émoluments, de ponts, digues, port, et autres créations et améliorations sérieuses.--Désormais ses huiles et ses fruits seraient assimilés aux huiles et aux fruits sardes, et peut-être qu'en considération des longues souffrances et de l'épuisement du pays les droits d'entrée sur les vins, sucres,'objets manufacturés, etc.. ne seraient pas élevés d'une manière sensible, et même que le tarif actuel serait provisoirement maintenu. Au reste, le régime douanier de Menton dût-il subir la loi commune, le sacrifice réel qui en résulterait pour cette ville ne demeurerait...
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