Críticas:
SI C’EST UNE FEMME
« Cette journaliste britannique indépendante [...] a accompli un travail remarquable pour faire la biographie de Ravensbrück. Biographie en effet, car ce sont les victimes et les bourreaux que l'on entend dans cette enquête. »
L. L., Livres Hebdo. Lire la critique
« Si c'est une femme de Sarah Helm redonne, après un travail d'enquête minutieux auprès des dernières rescapées et des familles des déportées, la parole à ces héroïnes silencieuses. »
L'Alsace
« Une bouleversante "biographie" de Ravensbrück. Après une enquête de plusieurs années à travers le monde, à la recherche des dernières survivantes et de leurs familles, l'auteure donne voix à ces héroïnes inconnues. S'attachant aux détails de la vie du camp, elle rend compte avec justesse, et sans excès, de la terreur quotidienne et des effroyables tortures infligées aux détenues. Mais, aussi, de la solidarité et du courage dont elles firent preuve. »
Marie Charrel, Le Monde des livres. Lire l’article
« Sarah Helm a eu accès à beaucoup d'archives bien sûr mais elle a aussi retrouvé des survivantes. Son livre remarquable est né de l'histoire d'une femme toute aussi entêtée qu'elle, Véra Atkins qui fut la première à enquêter sur les femmes de Ravensbrück. [...] Il n'y a pas une ligne à jeter dans cet ouvrage de plus de 800 pages. »
Karen Lajon, Le Journal du Dimanche Lire l'article
« L'auteure "excelle dans son refus de réduire les acteurs de son récit à des stéréotypes, écrit Joanna Bourke dans le Telegraph. Même quand elle traite de la brutalité des gardiennes, Helm s'abstient de les diaboliser." »
Books
Reseña del editor:
Les femmes, qui arrivaient parfois de nuit, croyaient être près de la côte car le vent y avait un goût de sel et elles sentaient le sable sous leurs pieds. Quand venait le jour, elles voyaient que le camp était construit au bord d’un lac et entouré de forêts. Himmler aimait que ses camps soient dans des lieux d’une grande beauté naturelle, et de préférence dissimulés. Aujourd’hui, le camp est toujours hors de vue ; les horribles crimes qui y ont été commis et le courage des victimes restent largement ignorés.
De 1939 à 1945, au camp de Ravensbrück, 132 000 femmes et enfants furent les victimes silencieuses des nazis. Résistantes, Tziganes, Témoins de Jéhova, handicapées, prostituées ou juives, elles étaient pour le Reich des déclassées, des « bouches inutiles ». Parmi elles, 8 000 Françaises dont Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle-Anthonioz.
Fruit d’un travail d’enquête minutieux à travers le monde à la rencontre des dernières rescapées et des familles des déportées, ce livre exceptionnel redonne la parole à ces femmes, vibrantes héroïnes d’une histoire restée trop longtemps marginale.
« SUPERBEMENT DOCUMENTÉ ET TERRIBLEMENT ÉMOUVANT... LE LIVRE DE SARAH HELM, FONDÉ POUR UNE PART SUR LES TÉMOIGNAGES DES SURVIVANTS, EST UN MODÈLE DE SENSIBILITÉ ET DE SÉRIEUX. »Sunday Times
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